Briefing : un avion dérive avec le vent. Le vent est sans cesse présent au cours d’un vol. Cependant l’instructeur nous explique qu’avec un vent de 30 km/h de face la rotation, sur ce DR400, se fera comme d’habitude à 100 km/h, et la montée initiale se fera également de manière normale à 120 km/h.

Marc a dû se dire qu’on avait pas l’air aussi malade que d’habitude et il a décidé de nous rajouter ces petites montagnes russes à la fin.Personnellement j’ai pu voir ce que c’était mais je n’ai pas compris grand chose, donc on verra la prochaine fois pour rentrer plus en détails dessus et que je puisse m’y essayer aussi.Ce vol aura été plutôt fun et tout à fait logique. Il fera les mêmes exercices de vol avec en bonus une introduction au « second régime » de l’appareil pendant un vol lent. Au décollage, l'avion doit accélérer à une vitesse de 60 noeuds, mais il est également poussé par un vent de dos de 10 noeuds. Exposé sur les raisons pour lesquelles un avion vole, réalisé dans le cadre de ma formation FI (Flight Instructor) avion chez Aéro Pyrénées à Toussus (LFPN). Le nez sera orienté vers le vent pour compenser. Ces conditions peuvent être normalement retrouvées lors de la formation d’un orage. Nous devons anticiper la sortie de celui-ci.

Romain a pu se rendre compte que les commandes de l’avion répondaient beaucoup moins. L'alerte de cisaillement du vent se compose : - d'un message rouge qui s'affiche sur les deux PFD Voir E.F.I.S PFD et clignote pendant 9 s, puis reste allumé, aussi longtemps que le cisaillement du vent est détecté. Calme ou modéré, il ne pose généralement pas de problèmes. La portance est une force liée à l’effet du vent sur l’aile qui attire l’avion vers le haut. De manière générale, il faut retenir que plus l'avion vol vite, moins le vent aura d'effet sur lui.

Le cisaillement du vent peut en effet avoir une influence directe sur la portance et la trajectoire d’un avion.

Mais effectivement la vitesse au sol sera de 70 km/h et la montée sera plus abrupte.En fait il faut savoir que l’anémomètre calcule la vitesse relative au vent grâce à un tube de Pitot. C’est elle qui permet de faire décoller un avion et de le maintenir dans les airs. Il me semble que seul un GPS peut donner la vitesse au sol, mais ce DR400 n’en est pas équipé.C’est un peu comme en voiture sur l’autoroute, le vent modifie votre trajectoire. En tout cas, c’est ce que nous donnera l’anémomètre de l’avion (indicateur de vitesse). Enfin Il a pu s’essayer à la procédure en cas d’alerte de décrochage. Le but aujourd’hui sera de comprendre comment l’avion dérive en fonction du vent et comment interpréter les instruments de bord.Nous avons un petit vent de 30 km/h aujourd’hui, mais bizarrement il n’y a pas trop de turbulences. Je m’attends à ce que Marc nous dise : « Cette fois je vais décoller car ça risque de secouer un peu », mais bien évidemment je peux toujours rêver.

C’est un phénomène redouté par les pilotes d’avions lors des phases d’atterrissage et de décollage. Donc c’est exactement comme faire du drift (dérapage) en voiture !!!! De cette pression est déterminée une vitesse. C’est un petit tube métallique sous l’aile de l’avion dans lequel l’air s’engouffre et exerce une pression sur un capteur. En général, on peut s’en rendre compte car le nez de l’avion n’est pas en direction de l’endroit où l’on veut aller (sauf si on remonte face au vent).

Au bout d’un moment on finit par le ressentir.Par la suite on effectuera notre changement habituel avec Romain à Candillargues.

Le palonnier en est même devenu plus intuitif.

Vol : compenser le vent. Sauf qu’en vol ce n’est pas toujours flagrant puisque nous sommes loin de tout repère à 2000 pieds. Calme ou modéré, il ne pose généralement pas de problèmes. À l’inverse, le poids est une force qui attire l’avion au sol. Avant tout, voici la liste des abréviations employées : - Xmax : Dérive maximale - d : Dérive - Wv : Wind Velocity (vitesse du vent) - A : Angle au vent en degrés Une navigation reliant trois aérodromes avec une distance totale d’au… Un vent arrière donne à l'avion une vitesse sol supérieure pour une vitesse donnée. Explications d’un ingénieur de l’école nationale de la météorologie. Le vent a forcement une influence sur l’avion pendant un vol, mais aussi sur les instruments. Il peut éventuellement dévier l’appareil de sa trajectoire, mais sans plus. Au contraire, un vent fort, sous forme de rafales ou de cisaillement peut être particulièrement dangereux. Ces conditions peuvent être normalement retrouvées lors de la formation d’un orage.Face aux vents d’une puissance sans limites, il est clair qu’un avion n’a aucun moyen d’action et est soumis à des contraintes importantes.C’est à l’atterrissage et parfois au décollage que les pilotes rencontrent le plus de difficultés face à des vents violents (surtout par des vents de travers).En altitude, le vent ne présente pas de danger pour les avions de ligne.

C’est aussi mon 2ème décollage, donc je ne suis pas très rassuré de devoir le faire dans ces conditions. C’est ce qu’on appelle avancer en crabe.