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«Ils sont les bienvenus. Après quatre soirées consécutives de troubles dans le quartier sensible des Grésilles, la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, s'est rendue, mardi 16 juin, à Dijon …
«Mais alors que nous n'avions rien demandé, plusieurs personnes que nous ne connaissons pas sont venues spontanément à Dijon. Même le centre de ville de Dijon, on est jamais à l'abris d'un gars bourré ! Centre ville proche, libre accès voiture, un peu de nature ect. Oui, j'ai pris le bâton. Ce lundi 25 mars 2019, cap sur la Fontaine-d'Ouche. Le quartier des Grésilles a longtemps été, à Dijon, le quartier “difficile”. Au quotidien, où que vous soyez, consultez le journal complet en ligne, dès 6h du matin. A Dijon, des habitants plaident la self-défense face aux TchétchènesLe petit quartier de 5.000 habitants, à majorité maghrébine, vient de connaître sa première nuit de calme depuis vendredi soir et une série d'expéditions punitives de Tchétchènes voulant venger l'agression d'un des leurs.Confronté aux déambulations de dizaines, voire de centaines de Tchétchènes, Malik a décidé deLes Tchétchènes, au nombre de 50 à 60.000 en France, et 150 à 200.000 en Europe, étaient même accourus de pays voisins, comme a témoigné l'un d'entre eux au quotidien local Le Bien Public.Le but était d'épauler la très petite communauté dijonnaise.Soutenez l'info locale et la rédaction de Var-Matin, On a été abandonné, alors j'ai agi», explique-t-il, refusant de condamner ceux qui, dans la cité, avaient des «armes à feu pour se défendre».
«Ils se sont sentis abandonnés par les forces de l'ordre et ont donc ressenti le besoin de montrer leur force. J'ai agi en père de famille: tous les soirs, on les voyait, les Tchétchènes, défiler dans Dijon. Les violents affrontements ayant eu lieu depuis vendredi à Dijon se tiennent dans le quartier des Grésilles. "Ils se sont sentis agressés": aux Grésilles, quartier sensible de Dijon, les habitants expliquaient mercredi les incidents des derniers jours par une volonté d’assurer eux-mêmes leur défense
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«Je n'ai rien à cacher. Si jamais tu étais contrainte d'habiter un quartier dit "sensible", veille juste à pas rentrée trop tard ou du moins pas seule. Pourquoi le Puy du Fou suscite-t-il tant de passions depuis quarante ans ?François Bayrou pourrait remettre au goût du jour le commissariat au PlanWilly Schraen, un chasseur au front contre « l’écologie politique »François Bayrou pourrait remettre au goût du jour le commissariat au PlanCanicule : le rafraîchissement arrive enfin par le nord-ouestCynthia Fleury : « Ne pas soutenir le soin, c’est ruiner la solidarité »Courances, un « jardin d’eau » sans cesse réinventéÉtats-Unis, 20 morts dans une fusillade à caractère vraisemblablement raciste au TexasL'enquête russe revient empoisonner Donald Trump au CongrèsInstrument de travail pour le Synode 2019 sur l’AmazonieUISG, XXIe Assemblée générale 2019 : “Semeuses d’espérance prophétique”Document final du Synode des évêques 2018 sur “Les jeunes, la foi et le discernement vocationnel” Des dizaines de personnes armées de barres de fer et d’armes de poing se sont rassemblées lundi dans le quartier sensible des Grésilles à Dijon.
«Oui, on s'est défendu».Des habitants du quartier sensible de Dijon, les Grésilles, le 17 juin 2020 après des incidents avec des tchétchènes armés / AFP«On n'a attaqué personne.
«La population a été délaissée», ajoute Mohammed, en sirotant un café au bistrot de l'avenue des Grésilles.
Librairie Ces trois derniers jours, plusieurs dizaines, voire centaines de membres s’étaient rassemblés dans le centre-ville de Dijon puis dans le quartier sensible des Grésilles pour y … Des habitants du quartier sensible de Dijon, les Grésilles, le 17 juin 2020 après des incidents avec des tchétchènes armés Votre demande d'inscription aux newsletters de Nice-Matin et Var-Matin à bien été prise en compte.Une erreur est survenue durant votre inscription aux newsletter de Nice-Matin et Var-Matin ! Et la police ne faisait rien.