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Our privacy policy was last updated on Friday 31 January 2020Sign in to use alerts, your personal diary/wishlist, to save your recent searches, to comment on articles and reviews or if you want to input events.“Alain Altinoglu apporte la flamme qui fait souvent défaut sur le plateau”Reviewed at La Monnaie | De Munt: Grand Hall, Brussels on 12 December 2019Dmitri Tcherniakov's staging turns Rimsky-Korsakov's opera into storytelling for an autistic boy, but does he deliver a fairy tale ending? On sait que le compositeur était loin d’avoir terminé sa partition avant sa mort et que Guiraud fut chargé d’arranger le reste à partir du matériel laissé par le compositeur et que les producteurs pratiquèrent aussi de nombreuses critiques dommageables. Parfois, il re-tricote ensuite, d’autres fois non. Notre politique de confidentialité a été mise à jour pour la dernière fois le vendredi 31 janvier 2020Inscrivez-vous pour utiliser des alertes, un agenda / liste de souhaits personnalisée, pour sauvegarder vos recherches récentes, pour commenter des articles, des comptes rendus ou si vous souhaitez entrer des événements dans notre agenda.Se connecter ou s'inscrire à partir des réseaux sociaux“Alain Altinoglu apporte la flamme qui fait souvent défaut sur le plateau”Critique faite à La Monnaie | De Munt: Grand Hall, Bruxelles, le 12 décembre 2019Le duo de metteurs en scène Jean-Philippe Clarac et Olivier Deloeil mettent en scène la trilogie Mozart-Da Ponte à La Monnaie. » : Krzysztof Warlikowski présente Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach à Bruxelles. Sous la direction du chef Alain Altinoglu, Patricia Petibon triomphe à La Monnaie dans Comment Burna Boy va conquérir le monde avec “Twice As Tall”Qui sont les 10 acteurs les mieux payés au monde en 2020 ?Les 100 plus beaux films de la décennie : le top 10 de nos c...Pourquoi il est urgent d’en finir avec les hôtesses du Tour...“Never Rarely Sometimes Always”, un film contre le patriarca...Robert Pattinson pasteur fou dans “The Devil All the Time”La révolution de 1789 selon Stéphane Bern et Lorànt Deutsch Quant à sa tenue, elle se limite à un marcel blanc et un caleçon en satin de la même couleur, mais il enfilera bientôt une robe de chambre.C’est alors que nous nous retrouvons dans la taverne de maître Luther (ici un très classieux bar d’hôtel), projetés dans une ambiance évoquant les années 1950 à 1970 – on appréciera le Nathanaël de À partir du deuxième acte, la référence au film de Cukor est tout à fait transparente, à ceci près que Hoffmann/Norman Maine se veut le Pygmalion non pas d’une seule actrice (Esther Blodgett dans le film) mais de tous les principaux personnages féminins, soit Olympia, Antonia, Giulietta et – dans une moindre mesure – de Stella, le tout dans un décor qui alterne principalement entre la salle de cinéma, le studio d’enregistrement et le logement sombre où se terrait au début Hoffmann, avatar du Elvis Presley enfermé dans son domaine de Graceland.En dépit de l’atmosphère générale assez glauque, la mise en scène offre quelques brillantes trouvailles, comme la façon de faire d'Olympia une espèce de robot au visage aveugle, sur lequel Hoffmann pose les yeux que lui a vendus Coppélius. Altinoglu et Warlikowski signent un retour manqué des Contes d’Hoffmann à la Monnaie. Si la mise en scène hollywoodienne de Krzysztof Warlikowski montre ses limites, l'interprétation musicale n'appelle que des éloges.

"Les Contes d'Hoffman", mise en scène Krzysztof Warlikowski On trouve cette star déchue et alcoolique (on ne sait pas très bien s’il a été acteur ou chanteur ou les deux) affalée dans un fauteuil, regardant une vidéo sur écran géant dans une pièce jonchée de bouteilles vides et de kleenex usagés. Suivez vos artistes, œuvres et lieux préférés en vous abonnant dès maintenant.À l’occasion de la sortie de son album « Long time ago », la jeune mezzo offre un récital pétillant aux Bouffes du Nord accompagnée...Dix ans après la redécouverte de Fortunio de Messager in loco, l’Opéra Comique reprend la mise en scène sobre et délicate de Denis Podalydès, servie... Krzysztof Warlikowski revisite Poète destroy accompagné en permanence par sa muse (Michèle Losier), Hoffmann (Eric Cutler) est un séducteur raté qui raconte ses échecs amoureux comme autant de scénarios à filmer. No, it’s not Strauss' The future of opera in a world of technology: Barrie KoskyOn the trail of Offenbach: interview with Jean-Christophe KeckVirtual Togetherness: Can virtual choirs replace the real thing?Pratiquant le piano (puis l’alto) dès l’enfance, Patrice Lieberman - après un passage par le Conservatoire d’Anvers - combine sa passion pour la musique, les langues et la littérature en étudiant la musicologie et la philologie slave à l’Université Libre de Bruxelles, avant de se perfectionner aux universités de Pennsylvanie et Yale. Laurent Pelly exploits the satirical side of Rimsky-Korsakov's Strauss' 'conversation piece' of an opera is given a warmly sympathetic production with the musical rewards coming as much from the pit as the stage.An opera that pokes fun at opera seria?