Alejandro Amenábar est définitivement un réalisateur à suivre.



Ouvre les yeux n'en est rien et demeure au contraire un véritable et rare petit bijoux, noir du début à la fin, doté d'une mise en scène captivante au service d'un scénario déroutant au fil des minutes, avec un montage puzzle qui renforce encore plus ce fabuleux manège entre rêve et réalité. La manière dont l'incertitude est installée, l'irréalisme chronique qui plane au dessus de l’œuvre, le mystere et même l'angoisse, tout ça est magistralement géré, et il part si loin qu'on finit par craindre une retombée violente de tout cela, mais cela n'arrive pas, Amenabar parvient très bien a mettre un vrai dénouement, plausible et inattendu, tout en gardant un peu de cet angoissant mystere qui fait le caractère de ce film. Un film à voir, un film qu'on oublie pas.

0 Ouvre les yeux : critique Alejandro Amenábar est un réalisateur talentueux et roublard. A voir... Les américains se sont emparés du scénario malgré ses faiblesses pour produire leur remake habituel ("Vanilla sky" de Cameron Crowe en 2001). Il en va de même pour les histoires d’amour.

Une nouvelle fois relatif au thème des événements passés pour ainsi évoluer crescendo jusqu'au moment tant attendu, le rythme très soutenable de ce film a donc l'effet escompté, car pour le coup, pas le temps de les fermer, les yeux.

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Fiche technique.

Un an à peine après le remarquable et oppressant Tesis - qui fut son tout premier long-métrage ; débuts tambour battant !

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Suivre son activité Publié en 2015, traduit deux ans plus tard. Bizarrement ce film inabouti a de nombreux adeptes. La famille sur tous les tons au menu de ce Cercle polar. Sa nouvelle valse des fantômes, lente et entêtante, est une réussite.

Dan Scanlon Critique du film : Ouvre les yeux [1998], par Vincent L. Avis critique rédigé par Vincent L. le mercredi 26 septembre 2007 à 22h26 critique, avis sur Ouvre les yeux de Matteo Righetto Si vous n'êtes pas encore inscrit, vous pouvez le faire dès maintenant en cliquant ici . - qui vaut clairement le détour, et qui aura l'honneur (ou pas) d'être (re)cuisiné à la sauce américaine quatre ans plus tard, avec Vanilla Sky. Cinéma.


La fin s'avère par ailleurs convaincante et explique tout mais là aussi, une question se pose : est-ce bien suffisant de tout expliquer (même bien) en quelques minutes si l'on n'a a pas réussi à nous intéresser durant les 110 minutes précédentes? Bon moment de ciné. Désespéré, il en vient à mettre en doute son équilibre psychique et à imaginer une conspiration contre lui.Défiguration du rêve et vertige du désir, le réel ôte au bonheur son masque narcissique. Amenabar n'arrive en effet jamais à trouver un ton vraiment juste, poétique, envoutant, et ce alors que le thème avait pourtant vraiment de quoi fasciner.

Avec









Félix Lefebvre, Benjamin Voisin, Philippine Velge

Découvrez les films de la même licence ou similaires. Un film fort et puissant, à 100 lieues de la version américaine qui en a été tirée et qui reprend carrément les plans entiers...

Avec L'Allemande Alex Berg orchestre sur le même registre, mais avec un tempo beaucoup plus rapide, la course éperdue de familles brisées par la guerre et l'exil.

Ex. Forcément il ne peut s'agir que d'une raison primordiale, existentielle même et non un simple treck dans un paysage sublime des Dolomites. Publiée le 15 juillet 2015 Troublant. Suivre son activité De



Suivre son activité C'est à la fois doux et fort, cruel et beau, passionné et calme. Publiée le 16 août 2011

Ouvre les yeux - la critique.