Beaucoup d’humour ! Ensuite, une fois sur place, je poursuis bien sûr la lecture du terrain, du relief, et de la présences des proies pour trouver les prédateurs. Même si je note beaucoup de choses dans mes carnets. J’espère que montrer la beauté de la nature a encore un sens, mais je me questionne beaucoup sur cette finalité de mon travail photographique. Traveling aboard a French polar icebreaker in 2016, they documented the marvels of the continent, both on the ice and under it. Passionné de photographie, il est membre du studio Hans Lucas. Chaque rencontre avec un animal sauvage, même minuscule, me procure la même émotion. Même si là-haut, il y a la poussière en Généralement, j’installe un camp de base avec l’aide de Tsebtrim, mon ami tibétain, dans une vallée qui m’intéresse. Solitaire, la panthère (ou léopard) des neiges peut parcourir 20 kilomètres par jour. Je fonctionne à l’instinct. Je mène des projets personnels, je ne suis pas missionné par une société d’exploration ou de géographie. Chaque jour est différent, dehors. En lien, en connexion avec les éléments.Tout dépend des conditions ! Je peux rester longtemps immobile, mais c’est douloureux pour les pieds : la température chute souvent à -30°C à cette altitude. J’ai conscience qu’aujourd’hui, elle est nécessaire, mais loin d’être suffisante… Aussi, il me plaît de conjuguer l’aventure, la quête naturaliste et la quête esthétique. Penser comme une panthère. La panthère restait un rêve inaccessible. commander. Il est devenu un photographe animalier internationalement reconnu après avoir gagné le prix de la BBC Wildlife Photographer of the Year en 2000, 2001 et 2002. Lui reste au camp de base et observe. Et l’expérience de l’Arctique m’a aidé à affronter le froid. C’est un sacré baroudeur. Et me donne envie, lorsque c’est possible, de réaliser une image…  Sylvain a été un compagnon idéal sur le terrain : toujours partant ! Je la savais présente, mais j’avais peu d’espoir de la voir, après avoir lu J’ai pas mal repéré les lieux en amont grâce à Google Earth : en complément des cartes traditionnelles, cela offre une première approche des reliefs. Beaucoup d’humour ! Next edition available: n°77/100. Louons d’abord la ténacité de Vincent Munier qui, voyageant au Tibet depuis 2011, n’a vu pour la première fois une panthère des neiges qu’à l’issue de trois expéditions. Vincent Munier's travel journal in wild Tibet, tracking the mythical snow leopard (in French only, with black and white pictures). Deluxe edition of the book "Arctique", numbered and signed by Vincent Munier, including one fine-art print.

Les gens aiment en savoir plus sur les « coulisses naturalistes » derrière les photos. Scanner la montagne, les rochers, et passer parfois plus de huit heures les yeux rivés aux jumelles et longues-vues.Je ne pense pas me définir comme un explorateur. Je tenais à proposer de nouveau un carnet de voyage. Vincent Munier's travel journal in wild Tibet, tracking the mythical snow leopard (in French only, with black and white pictures).

Son dernier livre, « La panthère des neiges », vient de paraître aux éditions Gallimard. Souvent, être à l’affût impose de rester sans bouger de l’aube au crépuscule.je me questionne beaucoup sur cette finalité de mon travail photographique.Bien sûr, je reste attentif à tout ce qui m’entoure : un oiseau, un petit pika (micro-mammifère dont se nourrissent les prédateurs du plateau) peuvent se montrer. Se mettre dans la peau de l’animal. Vincent Munier a grandi dans les Vosges, immergé dans les secrets de la vie des animaux sauvages. Panthère Ours (Noir) Chauve-souris Aigle Faucon Guépard Monde Noir Je prends toutes les traductions mais si vous aviez des langues anciennes (français, grec, latin, etc.) On est dans la région du Kham, sur le haut plateau tibétain. Il a évidemment su s’adapter dans les moments d’affût. Le matin et le soir sont les meilleurs moments pour espérer voir certains animaux se déplacer, comme les félins (panthère des neiges, chat de Pallas).