Il voulait que je termine ma plaidoirie en disant cela. Mais je ne comprends pas : d'après ce que j'ai lu du déroulé de l'histoire, c'est Esteban qui aurait porté un, et un seul coup, allongeant la crevette Méric, et se serait alors exclamé "one shot !" Après avoir insisté sur le doute qui subsiste dans ce Vous comprenez pourquoi on vous en veut ? Il est responsable de la mort de Clément Méric, même s'il ne l'a pas tué”, lance l’avocate. Samuel reste en retrait, les poings serrés, le regard baissé. Pour autant, la grève ne quitte pas la bouche des avocats de la défense. Il se focalise maintenant sur la question du poing Me Patrick Maisonneuve rappelle qu'il y a eu sept expertises au total, sans que l'utilisation d'une telle arme ait été prouvée. civiles ou vous plaidez pour Alexandre Eyraud ?, demande Xavière Simeoni à l'avocat.

L’avocate de ses parents pense d’ailleurs que Samuel Dufour est “celui par lequel tout arrive”. Les jurés ont le regard rivé sur l'avocat général. "Il n'y aura jamais aucun mot qu'Alexandre Eyraud pourrait dire à la maman de Clément Méric, même s'il avait été quelqu'un qui avait du verbe, affirme-t-elle. Et à l'autopsie, on a fatalement pu déterminer s'il a été frappé avec un coup-de-poing américain : j'imagine que ça laisse un hématome droit, régulier, non ? "Les fascistes de demain s'appelleront eux-mêmes les antifascistes".Jean Moulin vous aurait mieux caricaturé, c'est un avis personnel.Samuel Dufour, un des trois accusés jugés pour la mort de Clément Méric en 2013. L'après-midi débute avec la plaidoirie de Me Julien Fresnault, avocat de Samuel Dufour.

La cour le regarde. En principe, un avocat n'a pas à être coupé dans sa plaidoirie. Maisonneuve, plaide depuis les bancs de la défense. Il rappelle qu'Esteban Morillo a occupé plusieurs emplois, qu'il a même obtenu une promotion au sein de son dernier poste. d'Esteban Morillo, poursuit sa plaidoirie, centrée sur les faits. Nous suivons le huitième jour du procès aux assises de trois nationalistes impliqués dans le décès du militant antifasciste Clément Méric, le 6 juin 2013 à Paris.Si vous avez raté la journée de mercredi, avec notamment l’interrogatoire des experts psychologues et les plaidoiries des parties civiles, Le procès de trois skinheads impliqués dans la mort de Clément Méric, étudiant devenu le symbole de l'engagement antifasciste tué en 2013 lors d'une bagarre, se tient actuellement à Paris. À la suite de ce qui s'est passé, il a été gravement atteint, gravement frappé à la tête à coup de planche avec des clous dessus.

montrer que son client était de bonne foi.

Son ton est grave, sa voix posée et calme. ma part, mais là ça dure depuis 45 minutes", précise-t-elle. Me Fresnault, qui défend Samuel Dufour, s'avance devant la cour. Oui c'est les antifas qui ont insulté, provoqué les skinheads, puis les ont attendus.

Les jurés ont le regard rivé sur l'avocat général. Morillo n'a pas d'arme mais a frappé Méric, Dufour n'a pas frappé Méric mais a une arme, on additionne les deux et cela donne : ils ont tous les deux tapé Clément Méric avec une arme", ironise-t-il.Me Vey revient maintenant sur le SMS que Samuel Dufour, son client, a envoyé à un de ses contacts, le soir des faits. Mais pour Me Maisonneuve, son Hier, la cour a entendu les plaidoiries des parties civiles et, ce matin, les réquisitions de l'avocat général. Les accusés écoutent, épaules rentrées, le regard bas.

C’est cela la coloration politique de ce procès ! d'Esteban Morillo, poursuit sa plaidoirie, centrée sur les faits. "Me Maisonneuve en vient maintenant à la personnalité de son client, pour qui la valeur travail est importante. Alexandre Eyraud, qui d'habitude regarde le sol, a les yeux levés vers son avocate. Elle doit reprendre dans un quart d'heure avec les plaidoiries de la défense. De cochon ? "Me Maisonneuve en vient maintenant à la personnalité de son client, pour qui la valeur travail est importante. L'avocat termine sa plaidoirie. On y juge trois anciens skinheads, Esteban Morillo, Samuel Dufour et Alexandre Eyraud, poursuivis dans l’affaire de la mort de Clément Méric, jeune “antifa” décédé le 6 juin 2013, près de 24h après une bagarre entre nationalistes et militants d’extrême gauche. Il passe beaucoup sa main dans ses cheveux grisonnants. juges et magistrats l'écoutent attentivement. "Les deux principaux accusés, Esteban Morillo et Samuel Dufour, encourent Les faits reprochés à Alexandre Eyraud, le troisième accusé, étant moins graves, il encourt une peine plus légère : 5 ans de prison et 75.000 euros d’amende. "Pourquoi vous ne lui avez pas demandé de venir ?"

Il risque jusqu'à 20 ans de prison. Il risque jusqu'à 20 ans de prison. la vente privée (voir le schéma ci-contre).

quelqu’un, sans casier judiciaire, soit condamné à 2 ans ferme alors qu'il n’a touché personne ?

ma part, mais là ça dure depuis 45 minutes", précise-t-elle. Un autre doute de leur repentance et de leurs regrets.