Fri 13 Mar | 14:30 | Teatro Studio Borgna. Cette critique est réservée aux abonnés Déjà abonné ?

Ti preghiamo di riprovareSiamo spiacenti, ma non è stato possibile registrare il voto. Vicente left Poland for Argentina in the late 1920s to find his fortune but also to escape his mother and the old world. Au premier abord, on pourrait entendre ce titre, Le Ghetto intérieur, comme une métaphore, une image qui veut parler à l’imagination. Ti preghiamo di riprovareSiamo spiacenti, ma non è stato possibile registrare il voto. Saisissant d’abord par les contrastes qu’il propose comme cette opposition entre la vie insouciante de Vicente à Buenos Aires et le drame que vit sa mère à Varsovie. Ingresso libero fino ad esaurimento posti Dopo la consegna del suo premio Goncourt - La scelta dell’Italia a Libri Come, l’autore Santiago H. Amigorena incontrerà i lettori per una discussione intorno al suo romanzo Le ghetto intérieur alla Librairie Stendhal.

À l’heure où les étals des librairies sont occupés, comme chaque fin d’été, par une majorité de livres impersonnels dans l’écriture, détimbrés ou sans tonalité particulière, voilà un roman avec voix et modulation, un roman chuchoté, un roman dérangeant aux pages troublantes.

C'est-à-dire une densité six fois plus importante que celle de Paris intra-muros aujourd'hui. Enfin, l’histoire du silence raconté dans "Le ghetto intérieur" est une clé possible à tout ce que Santiago Amigorena a écrit auparavant, une sorte de généalogie de son propre silence, thème qui traverse toute son œuvre.Cette lecture était lourde, froide, terne. Difficile d’interpréter les rares nouvelles. Sans possibilités d’agir sur le réel, Vicente traine sa mélancolie et le lecteur assiste, impuissant lui aussi, à son lent et profond enfermement dans le silence comme prisonnier de son ghetto intérieur. Je l’ai lu d’une traite.

Puissant et déchirant, "Le ghetto intérieur", son 10e livre, publié comme les neuf précédents chez P.O.L, participe de cette entreprise en racontant l'histoire de son grand-père, Vicente Rosenberg, juif polonais émigré en Argentine en 1928 avec l'espoir de tirer un trait sur l'antisémitisme gangrénant une partie de la société polonaise. Vicente et Rosita se sont aimés et ils ont eu trois enfants.

Le livre de Santiago Amigorena m’a fait penser à cette citation de Billy Wilder (et reprise par David Foenkinos dans "Charlotte"). Despre toate acestea am fost nevoită să întreb un istoric pentru că erau fapte pe care nu le ştiam şi pe care le speram a fi ficţiune, însă Emanuel Grec mi-a confirmat scopul şi utilizările acestora. L’ecriture est belle et sensible. Une vie brisée par l’horreur qui régnait alors dans l’Europe sous le joug nazi, distillée à travers des dates historiques (la conférence de Wannsee, qui planifie et organise la «solution finale», l’armistice de juin 1940) mises en parallèle avec … Son petit-fils lui rend la voix dans ce livre aux accents de kaddish. C’est un livre bouleversant et saisissant que ce "ghetto intérieur". « Le ghetto intérieur » de Santiago H. Amigorena et c’est dans le q u o i l i r e ? "Vicente Rosenberg est arrivé en Argentine en 1928.

Une des choses les plus terribles de l’antisémitisme est de ne pas permettre à certains hommes et à certaines femmes de cesser de se penser comme juif, c’est de les confiner dans cette identité au-delà de leur volonté ‑c’est de décider, définitivement qui ils sont.

Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon (French Edition) Scarica una delle app Kindle gratuite per iniziare a leggere i libri Kindle sul tuo smartphone, tablet e computer.Per scaricare una app gratuita, inserisci il numero di cellulare. Mais lorsque Vicente a su que sa mère allait mourir dans le ghetto de Varsovie, il a décidé de se taire. "Vicente Rosenberg est arrivé en Argentine en 1928. by POL Editeur Seleziona una modalità di invio e completa l'acquistoI destinatari possono leggere gli eBook su qualsiasi dispositivo

Vicente et Rosita étaient les grands-parents de l’auteur qui écrit aujourd’hui : « Il y a vingt-cinq ans, j’ai commencé un livre pour combattre le silence qui m’étouffe depuis que je suis né ».

La première partie, publiée en 1998, s’intitule Une enfance laconique et se compose de deux chapitres : Le premier cauchemar, qui raconte pourquoi, à l’âge de dis-moi, l’obscurité commença de Santiago H. Amigorena écrit, depuis vingt-cinq ans, un projet littéraire qu’il a nommé, pour lui-même, Le Dernier Livre. Amigorena tries to explain the never answered question of what it means to be Jewish - to Vicente, to the Nazis, to others.