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Il n’inclut pas les morts provoquées par malnutrition ou des maladies telles que le choléra.” Les insurgés et leurs alliés contrôlent toujours la capitale Sanaa, conquise en septembre 2014, et de vastes territoires du nord, du centre et de l'ouest du Yémen. OPINION. Les combats n’auraient pas fait 10 000, mais entre 70 000 et 80 000 morts depuis mars 2015. Avril 2018 : l'ONU presse l'Arabie saoudite de trouver une issue à cette "guerre stupide" 10 000 morts, 53 000 blessés, et 22,2 millions d'habitants qui dépendent de l'aide humanitaire. Mais la guerre a au contraire tué beaucoup plus de civils que n’importe quelle estimation du nombre de personnes tuées lors de la rébellion initiale en février et mars 2011, qui allait de 1 000 (une estimation de l’ONU) à 6 000 (selon la Ligue libyenne des droits de l’homme). 10 000 morts, 14 millions d’affamés : les États-Unis se soucient enfin de la sale guerre. Pour l’instant, le groupe n’est remonté que jusqu’à début 2016, avec un chiffre des morts de 56 000.
Le gouvernement yéménite a affirmé le 7 janvier 2017 avoir lancé une vaste offensive pour éloigner les rebelles des côtes de la mer Rouge et briser le statu quo militaire qui dure depuis 18 mois. Peu de gens l’ont visité, tant il était dénué de ces infrastructures qu’exige le touriste moderne, qui veut de l’aventure sans les routes dangereuses, les puces dans la literie et les toilettes innommables. La coalition est ainsi accusée, du fait des nombreuses mesures économiques punitives visant à saper les rebelles houthis, d'avoir aggravé la situation des civils et d'être en partie responsable de la crise alimentaire qui touche le paysLes Houthis ont revendiqué le tir d'un missile sur l'aéroport civil d'Les Émirats arabes unis sont directement intervenus dans la guerre civile yéménite notamment en envoyant des troupes de Le manque de résultats de l'intervention de l'Arabie saoudite et les événements d'août-Cette évolution confirmerait que les Émiratis se sont imposés en acteurs de premier plan dans un pays considéré comme la « chasse gardée » de l'Arabie saoudite et conjointement un échec stratégique pour le prince héritier saoudien Alliés de l'Arabie saoudite, les Etats-Unis fournissent un soutien logistique et du renseignement à la coalition qui soutient le gouvernement légalTrois ans après le début de l'intervention internationale, l'opposition au rôle de l'Arabie saoudite dans la guerre civile au Yémen s'est néanmoins accrue à Washington.
Et de préciser : Ce chiffre augmente de plus de 2 000 par mois alors que les combats s’intensifient autour de la ville portuaire de Hodeïda, sur la mer Rouge. Comment concevoir qu’aucun correspondant de guerre, aucun journaliste curieux, aucune rédaction attentive n’ait cherché à découvrir la vérité, à faire des calculs, à interpeller des experts?Il faudrait dire pourquoi sept millions de personnes, soit un quart de la population, sont au bord de la famine et un million ont été touchées par le choléraInscrivez-vous et recevez les newsletters de votre choix. La guerre du Yémen s’enlise dans l’horreur, mais on en minimise le nombre des morts qui, depuis plus de deux ans, est stabilisé à 10 000, quoi qu’il soit advenu. Cette opposition est la conséquence de l'indignation suscitée par de graves incidents au cours desquels des civils ont trouvé la mort du fait de la coalition militaire dirigée par l'Arabie saoudite, en particulier des frappes de missiles qui ont tué des dizaines d’écoliers en La fin de ce soutien assidu à l'Arabie saoudite et le changement de politique américain se concrétisent le Selon un rapport d'experts de l'ONU, la Corée du Nord et les rebelles houtis ont négocié en 2016 un « protocole de coopération » grâce à Hussein Al-Ali, un marchand d'armes syrien. Elles espèrent ainsi débloquer une situation enlisée.La guerre entre les «rebelles» houthis, partisans de l'ancien président Ali Abdallah Saleh, et le «gouvernement» se poursuit sans résultats concrets, malgré un bilan très lourd et une inégalité des forces en présence criante. Anes Mahyoub/Reuters. Or contester une alliance avec des pays qui ne respectent pas le droit humanitaire international reste très difficile chez nous, en France »« ce blocus relève plutôt d’une forme de punition collective qu’autre chose. Des combattants soutenus par les Émirats auraient par ailleurs envahi des maisons et des hôpitaux à Aden et exécuté des patients blessés dans des hôpitauxLe 19 décembre, une attaque au missile des Houthis contre un défilé militaire fait 10 morts au Le 20 juin 2020, le CTS annonce prendre le contrôle de SocotraLa guerre civile yéménite s'inscrit dans l'affrontement géopolitique régional entre l'L'intervention saoudienne est également présentée comme le résultat de la politique personnelleLes critiques vis-à-vis de la coalition sous la direction du prince héritier Mohammed bin Salman se sont accrues à mesure que la presse internationale dévoilait l'ampleur des souffrances des populations civiles. Le pays compte trois millions de déplacés et 200 000 exilés, 14 millions de personnes ont besoin d’une aide alimentaire. La guerre au Yémen a fait depuis mars 2015 quelque 10 000 morts, dont 9500 civils, et provoqué «la pire crise humanitaire» au monde, selon l'ONU.
Et de préciser :Au-delà des victimes directes des combats, il est en effet difficile de déterminer combien de personnes meurent des effets induits de la guerre. Ils arrivent même à menacer le territoire saoudien tandis que les aviations arabes, équipées par les pays occidentaux, provoquent de nombreuses victimes civiles. La guerre … Comment se fait-il par exemple que les médias de bonne qualité, indifféremment de droite ou de gauche, aient pu durant trois ans relayer le nombre absurde de 10 000 morts au Yémen alors même que leurs propres articles commentaient un nombre ahurissant de raids et de bombardements meurtriers? Source : Independent, Patrick Cockburn, le 26 octobre 2018. 10.000 morts, 40.000 blessés et plus de 2 millions et demi de déplacés, selon l’ONU: le bilan de la guerre au Yémen est lourd. C’est pourtant avec tous ces inconvénients que vivent les populations locales…Jusqu’à la guerre qui n’en finit pas de le déchirer, le Yémen était un pays réellement splendide, avec ses hautes maisons de pisé ocre, aux entourages de portes et fenêtres badigeonnés de décors clairs.