Face à cette violence policière et ce gouvernement incapable d’écouter nos revendications nous devons faire bloc contre ceux qui veulent nous faire payer leur abominable gestion de la crise sanitaire à coups de matraques et d’interpellations violentes.Chômage partiel. Publicité ciblée Ceux qui ont lutté d’arrache-pied contre la maladie, qui l’ont souvent eux même attrapée à cause de la gestion catastrophique du gouvernement, sont « récompensés » par la matraque, du gaz lacrymogène et des interpellations.

La famille de Farida a bien visionné la vidéo ils réagissent : « C’est une infirmière à bout, qui n’en peut plus, qui a 17 ans de service derrière elle, qui a été en première ligne pendant la crise du COVID et qui après une énième manifestation réprimée a eu un geste de colère.» — Taha Bouhafs (@T_Bouhafs) June 16, 2020 Désactiver cette option empêchera les réseaux sociaux de suivre votre navigation sur notre site.

Oui, comme Imen Mellaz, sur twitter fait le lien entre le meurtre d’Adama Traoré et l’interpellation de sa mère. 50 ans, infirmière, elle a bossé pendant 3 mois entre 12 et 14 heures par jour. Hier applaudis tous les soirs par un gouvernement qui multipliait les hommages, leur accordait un statut héroïque, et les décorait de médailles, ce mardi sur la place des Invalides, ces mêmes soignants ont été accueillis par une pluie de lacrymo. Il rapporte Un rassemblement est appelé mercredi à 16 h devant le commissariat du 7ème.

17 juin 2020 Actualité. Elle a été malade du Covid-19, elle a vu dans son service de très nombreux patients décéder.»Estimant que son interpellation était disproportionnée, plusieurs personnalités ont fait le déplacement pour soutenir celle qui la veille avait été arrêtée après avoir laissé éclater sa colère sur les forces de l'ordre, en adressant doigts d'honneur et projectiles à celles-ci. Farida C. est infirmière depuis 8 ans Il s'agit d'une carte CPE, une carte de personnel d'établissement destinée le plus souvent au personnel administratif des hôpitaux. Pas quand on est désarmée, pas en blouse, pas quand on fait 1m55, pas face à autant de robocop. Rapidement, alors qu’elle dit être infirmière et faire de l’asthme, on voit les CRS plaquer sa tête contre le sol pour la menotter. Non, non et non.Une répression qui ne s’arrête pas là, puisque l’infirmière passera la nuit en garde à vue. Mesure d’audience «Je pense que cette personne n'a pas été traitée avec respect, ni point de vue médiatique, ni du point de vue physique», a-t-il en outre affirmé.Notre journaliste Meriem Laribi a également recueilli les propos de la députée insoumise Danièle Obono qui a rendu visite à la soignante, la veille, au commissariat.Après une journée de mobilisation nationale qui s'est déroulée dans le calme dans la plupart des villes, soignants, manifestants ou politiques ont déploré que les affrontements entre black blocs et forces de l'ordre à Paris aient fait passer au second plan les revendications de la profession.
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Et Imen Mellaz de s'interroger : «Comment une dame, mère de deux enfants, de 51 ans, avec 20 ans de service public, 20 ans de soins exemplaires, comment cette dame a pu en venir là ?»Le but «n'est absolument pas de nier certaines des images qui lui sont reprochées [...] on l'a vu littéralement craquer» a déclaré son avocat avant d'ajouter : «ça ne justifie pas l'infraction qui lui est reprochée, mais on peut inviter chacun à la réflexion sur la situation d'une personne qui pendant trois mois s'est engagée très fortement, à travailler plus de 60 heures par semaine.
La vidéo de l’interpellation violente d’une infirmière, au cours de la manifestation parisienne des hospitaliers a fait un triste buzz sur les réseaux sociaux.

Interpellée sur l'esplanade des Invalides lors de la manifestation parisienne des soignants le 16 juin, l'infirmière ivryenne Farida est sortie de garde à vue. "C'est une volonté de réprimer ceux qui étaient des héros, une héroïsation pour détourner le regard des citoyens des vrais problèmes de l'hôpital" L’avocat de Farida a pu s’entretenir 30 minutes avec l’infirmière. Il faudra être nombreux pour dénoncer cette interpellation absolument scandaleuse.Comme on a pu le voir ces dernières semaines avec les manifestations anti-racistes, l’unique réponse apportée par le gouvernement face à la mobilisation des soignants ou contre le racisme c’est la répression. Médailles à la poubelle, police saluant les soignants... Les actions symboliques du 16 juinPour paramétrer l’utilisation des cookies veuillez accéder dans la rubrique Aujourd’hui, elle … Nous diffusons des publicités afin de pouvoir proposer nos services gratuitement à tous les utilisateurs. Laurent Mucchielli : "L’ethnicisation et la victimisation sont des stratégies traditionnelles de l’extrême droite"État d’urgence au Liban : des mesures autoritaires et répressives pour contenir la contestation