Super, encore que des fois, j’arrive encore à faire un choix, parce que des éléments extérieurs me font prendre conscience du moindre mal à choisir telle option plutôt qu’une autre.Mais là je suis face à un renoncement à faire, et je suis totalement incapable de faire un choix. "Choisir c'est renoncer" Je ne vais pas … C’est au choix…Je choisi donc d’y revenir prochainement pour y lire d’autres articles, ayant pris soin de vérifier les intentions (mentions légales) concernant l’auteur du site, et qui me paraissent tout à fait honnêtes. Citation de Jean-Jacques Rousseau ; Du contrat social (1762) Aux objets les plus chers, lorsqu'ils peuvent te nuire, renonce avec facilité : L'amour même des biens, pour ne pas nous séduire, doit céder à …
Il n'y a donc de choix que subjectif, c'est à dire comprenant une zone d'incertitude, d'où la difficulté de renoncer à un éventuel meilleur, ou bien, s'il y a plusieurs choix possibles, de renoncer à du « pas mal quand même », en sorte que je crée moi-même la possibilité d'une satisfaction non résolue.
Nous choisissons et, en le faisant, parfois renonçons-nous à une alternative qui eût pu être meilleure. Cette affirmation d’André Gide a fait couler beaucoup d’encre et encore aujourd’hui elle nourrit les débats et réflexions. Pas le temps, ça va vite, le monde est en train de nous filer entre les doigts et si l’on ne fonce pas tête baissée vers ou les autres vont, on ne sera bientôt plus qu’un passé, un dépassé, un marginalisé que l’on ne considérera plus tant il sera loin du commun en avance.Il faut prendre le temps de s’arrêter, flâner, réfléchir pour faire nos choix en toute connaissance de cause, en meilleure connaissance de cause, la vitesse n’explique souvent pas grand-chose, les objectifs, l’efficacité, la productivité, l’utilitarisme nous enlèvent nos marges de manœuvre pour faire nos choix, on choisit alors en grande partie pour nous.Choisir, c’est renoncer et choisir trop vite, c’est renoncer à ses propres choix, alors flânons, nous verrons mieux ou nous voulons vraiment aller.D’autres vous diront que, « choisir, bien plus que renoncer, c’est perdre ».Et encore d’autre vous diront, «choisir ce n’est pas renoncer, c’est préférer ». Ainsi, lorsque je suis au restaurant, avec mes kilos superflus, et que s’offre à moi de choisir entre des frites et des haricots verts pour accompagner mon plat, je n’accèderais à la joie spinoziste qu’en ayant vaincu mon désir de frites, en connaissance de cause et joyeux d’avoir rejoint à mes nécessités. Je ne prends pas vos informations personnelles, je recense seulement le nombre de littéraires qui consultent mon site. Et là, déchirement, lorsque nos choix laissent une part de notre désir sur le bas-côté.Choisir, c’est renoncer, mais renoncer n’est pas choisir. De là, une fois que j'ai compris la question, recomposé les parties en un tout, une synthèse, subjectivement donc, je dois trouver le chemin, le raisonnement qui me conduira à ce que j'espère être la (les) solution(s), avec toujours la même zone d'incertitude quant au choix des termes balisant ledit chemin. Il raconte l’histoire d’une jeune fille ayant eu un accident et qui se retrouve sur un lit d’hôpital ayant ses jours comptés. Nous voilà donc revenu au début et la zone d'incertitude qu'implique le choix, car la connaissance de nos nécessités ne peut que se perdre dans la méconnaissance du désir de l'Autre, à lui-même inconnaissable : « le désir de l'homme, c'est le désir de l'Autre » (Lacan). Il n'y a pas eu d'échecs. Mais l'homme choisit généralement la moins bonne. Il semblerait que ceux qui ne savent pas choisir , ne veulent en fait surtout pas renoncer. J’ai été très émue par cette lecture. Choisir c'est renoncer à toute les autres options ! Ici, nous retrouvons Spinoza pour qui la liberté s'acquiert en quelque sorte par la connaissance des causes qui nous déterminent, où l'on est donc en mesure de choisir selon nos nécessités, et non sous l'effet d'une contrainte extérieure.