© L’argent des retraites dans les pays anglo-saxons, celui des assurances-vie en France, sont étroitement dépendant de la santé de la Bourse. Et elles ne sont pas les seules à pleurer.

La bourse de Paris a clôturé en net repli ce mardi 6 février. Dans ce contexte qui préfigure peut-être un krach, la prudence est de mise en Bourse. Quand celle-ci tousse, c’est toute l’économie qui s’enrhume.Selon les calculs de la banque Natixis, une baisse de 10 % des cours de Bourse fait perdre 0,7 point de produit intérieur brut (PIB) à la croissance américaine, très dépendante des marchés, et 0,3 point à l’européenne. Coronavirus et pratiques obsolètes au cœur de la chute historique du PIB japonaisKarl Eychenne : « Qu’est-ce qu’une dette que l’on ne réclame plus ? La chute du CAC40 n’est pas terminée : le conseil Bourse du jour Vous suivez désormais les articles en lien avec ce sujet.Retrouvez ce contenu plus tard en appuyant sur ce boutonCe contenu a bien été ajouté à vos favoris dans votre profil !Jusqu'à présent, les hypothèses du marché étaient qu'en mars, une partie des sociétés serait de retour au travail, tandis que d'autres reprendraient à un rythme moyen ou inférieur à la normale. Et l’Europe avait, le matin, suivi la même pente fatale, avec des baisses de près de 10 % pour le CAC 40 français, le DAX allemand ou le FTSE britannique. Toutes entreprises qui, sans le concours de leurs Etats, pourraient, d’ici deux mois, se retrouver en faillite, puisque leur chiffre d’affaires s’est évaporé en un clin d’œil. Spécial pouvoir d'achat : les gagnants, les perdants, et comment préserver le votre ? Ce qui signifie qu’une chute des marchés de 30 %, comme constatée depuis le début de l’année, peut coûter un point de croissance à l’Europe.

Malgré les premières mesures de confinement prises par la Chine, où le virus s'est déclaré, les voyages internationaux ultra fréquents d'aujourd'hui expliquent que le virus s'est facilement propagé dans des lieux anodins : À court terme, on peut anticiper une volatilité croissante des marchés, selon elle. La mauvaise nouvelle, c'est qu'il y a des tensions ascensionnistes qui sont en train de voir le jour aux Etats-Unis. Seul le débordement confirmé des 5.682 points remettrait en question ce scénario baissier.https://www.capital.fr/entreprises-marches/la-chute-du-cac40-nest-pas-terminee-le-conseil-bourse-du-jour-1363322Retrouvez ce contenu plus tard en appuyant sur ce boutonCe contenu a bien été ajouté à vos favoris dans votre profil !Ne manquez pas nos informations exclusives en vous abonnant aux Elles n'avaient pas pris en compte la propagation rapide à d'autres continents. Cac 40: La Bourse de Paris chute de près de 4%, du jamais-vu depuis le vote sur le Brexit en 2016

Ce dernier restera connecté avec ce compte.Non. Un don »Biélorussie : faire cesser la guerre contre un peuple« Lisa et le diable », de Mario Bava, est réédité en Blu-ray dans sa version initiale« La Nef des fous », best-seller inattendu aux Etats-Unis en 1962« Frantz Fanon, l’indocile » : l’héritage d’un penseur de la décolonisation, sur France CultureLa Normandie, exercice de stylet pour David HockneyKate et William devant une grue à peluches : c’est peut-être un détail pour vous…S’aimer comme on se confine : « Il n’avait pas envie de venir et maintenant on va rompre »S’abonner, c’est contribuer aux discussions en apportant ses commentaires aux articlesLes marchés d’actions ont vécu, lundi, l’une des pires journées de leur histoire. Les investisseurs comprennent bien que tout l’argent de la Banque centrale européenne ne fera pas décoller plus d’avions chez British Airways, Air France-KLM ou Lufthansa. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.Analyste financier dans une société de gestion d’actifsAnalyste financier dans une société de gestion d’actifsFermer la bandeau d’une raison de s’abonner au journal Le Monde. La chute des actions américaines, depuis vendredi, se propage partout dans le monde. La propagation du virus covid-19 a fait plonger la Bourse parisienne de plus de 10% en quelques jours.

C'est le plus fort recul depuis le Brexit en juin 2016. Publié le 26.02.2020 à 11h47 • Mis à jour le 26.02.2020 à 11h48. / Voiture propre : les folles promesses de Macron sont-elles tenables ?Capital Votre Argent : Immobilier, toujours un bon placement / Décrocher le meilleur crédit / Faire le plein des avantages fiscauxEcoutez 21 millions, le podcast de Capital sur les cryptomonnaies On est dans une situation de plein emploi. D’un côté, l’OMS craint une pandémie, de l’autre avec la Chine quasiment à l’arrêt, la chaîne d’approvisionnement pèse sur les marchés.

Pour éviter que cette dégringolade ne pénalise trop l’économie, les Etats pourraient être tentés d’intervenir, comme l’ont fait les Chinois, estime Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».En chutant de près de 13 %, l’indice Dow Jones a rejoint son triste record de la crise de 1987. Les données se concentraient sur la Chine. Les grandes banques américaines, pénalisées par cette soudaine baisse des taux américains et une consommation disparue, ont vu leur titre boursier dégringoler de près de 20 %.Cette décapilotade est un problème pour toute l’économie.

Quelle attitude adopter dans une période de remous? Le Coronavirus fait dévisser les Bourses. Ces hypothèses étaient "peut-être trop optimistes. / Ruée sur les maisons ! Capital © 2020 Prisma Media - Tous droits réservés Ce qui signifie qu’une chute des marchés de 30 %, comme constatée depuis le début de l’année, peut coûter un point de croissance à l’Europe.