Le Yucatan n'est pas le Mexique, autant dire que la Costa Brava c'est l'Espagne. Les transporteurs, les voyagistes vont s’ajuster en fonction de ça.

(Rio de Janeiro) Les autorités de Rio de Janeiro ont annoncé vendredi la fermeture des écoles pour sept jours et celles des théâtres, salles de concerts et stades pendant deux semaines face à la progression de l’épidémie de coronavirus. En postant ce message, je confirme avoir lu et accepté la Affaires 4. Pourtant, c’est une ville somme toute peu connue de l’Amérique du Sud, Quito, qui, la première, a vu son centre historique inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Publié le 12 juillet 2019 à 5h00 Synthèse situation algues (sargasse) dans le Yucatan - Mai 2019 (Rio de Janeiro) Les principaux lieux touristiques de Rio de Janeiro, dont la célèbre statue du Christ Rédempteur connue dans le monde entier, ont rouvert au public samedi, après cinq mois de fermeture pour cause de pandémie du coronavirus. Vous pouvez insérer des photos dans votre message en cliquant sur S'agit-il d'un avis sur une prestation touristique ou sur une expérience que vous avez réalisée ? Un million de tonnes d'algues sargasses sont annoncées sur les plages du littoral d'ici la fin de la saison. Dernière Mise à Jour: mercredi le 16 janvier 2019, 07:23 PM (EST) Le Brésil réautorise l’arrivée d’étrangers par avionCosta Rica: réouverture «graduelle» au tourisme internationalLes Galapagos rouvrent des sites touristiques et la réserve marineMahahual, le village qui refusait d’être le prochain TulumLimitation du nombre des futurs visiteurs du Machu PicchuUne épave vieille de 200 ans découverte près de MahahualLe Pérou souffre de l’absence de touristes au Machu PicchuLa Colombie interdit les vols de l’étranger dès lundiCoronavirus: Rio ferme ses écoles, stades et théâtres pendant une semaine Le Mexique va investir environ 2,7 millions de dollars pour lutter contre les sargasses, des algues nauséabondes qui affectent ses plages. «On a dû venir jusqu'ici, prendre un bateau et aller au large», raconte-t-elle.Une fois échouées, les sargasses doivent être enlevées au plus vite car leur décomposition aspire l'oxygène de l'eau et leur traînée sombre bloque la lumière du soleil, éliminant la vie marine.Tout l'écosystème naturel qui donne cette incomparable couleur turquoise à la mer des Caraïbes se retrouve en danger. Son nom, poétique à souhait : la forêt de nuages. Quebec Édition (FR) En cause, les sargasses, ces algues brunes qui ont fait récemment leur réapparition sur la côte mexicaine.À Tulum, au nord-est de la péninsule du Yucatan, quelques rares touristes prennent le soleil, entre résignation et ennui, ou se cantonnent aux piscines des hôtels.«Je n'avais aucune idée de la gravité de la situation», confie Chase Gladden, un touriste américain de 28 ans, devant le tapis d'algues qui s'étend sur 10 mètres de large et se perd en longueur à l'horizon.Le vacancier se plaint surtout de l'odeur d'oeuf pourri que dégagent les algues qui, en séchant, dégagent des émanations toxiques.Livia Vendramini, 26 ans, venue du Brésil, ne cache pas sa déception : «Nous venons ici pour voir une mer bleue et cristalline. Selon Carlos Gosselin, 13 des 18 km de plage de Puerto Morelos sont ainsi débarrassés de cette plaie.«Puerto Morelos est devenu un laboratoire de ce qui peut être fait ou non», souligne-t-il.Les habitants se mobilisent également : armés de râteaux, de pelles et de brouettes, ils nettoient les plages chaque matin.